A propos du projet

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L’envie d’aller plus loin

À la suite du succès du premier court métrage "Comme une empreinte" que l'on a réalisé en 2022, l’envie d’aller plus loin nous a motivés à écrire un deuxième scénario encore plus ambitieux. Ce film va mettre en images et en sons des rapports rarement explorés dans une histoire cinématographique, en explorant la sensibilité d’un arbre en tant que personnage à part entière. Nous avons décidé de faire à nouveau appel à vous pour soutenir financièrement cette production locale indépendante et essentiellement luxembourgeoise.

Une intention de départ et pas mal de questionnements

Avez-vous déjà entendu parler de “l’épopée lyrique du lichen” ou de “la poésie passive de l’aubergine” ? Alors il faut lire Vinciane Despret et se laisser interpeller.

« Et si un arbre était capable d’établir un contact avec un être humain ? »

La science a pu démontrer que les arbres, les végétaux, sont des êtres vivants beaucoup plus complexes que ce que l'on pouvait penser, notamment grâce aux études sur leurs impressionnants réseaux micellaires. Certains avancent même l'hypothèse qu'ils seraient pourvus d'une sorte de système nerveux. Alors qu'adviendrait-il si un arbre parvenait à connecter sa sensibilité à celle d'un être humain ?

Nous avons vu dans cette question un intriguant point de départ pour débuter l'écriture de notre second scénario de court-métrage. Nous avons trouvé là un prétexte propice et fertile pour soulever bon nombre d'autres questions sur le rapport ambigu, complexe, paradoxal et parfois hypocrite que nous entretenons avec notre environnement. Surtout à une époque où le mot environnement est presque systématiquement lié au mot crise. Et si justement, au lieu de parler de crise environnementale, nous parlions de crise de sensibilité ? Notre sensibilité, au monde, à la nature qui nous entoure. Et si d'ailleurs nous redéfinissions l'utilisation de ce terme nature qui dans le langage actuel crée, de fait, une fracture entre l'être humain et son environnement. Parce que finalement, ne sommes-nous pas nous aussi nature? Tout n'est-il pas nature ?

Ce fertile point de départ ouvre, à nos yeux, une multitude de réflexions et de vastes possibilités scénaristiques. Mais avant tout, notre volonté première est "simplement" de raconter notre région à travers une histoire cinématographique. L'histoire d'un arbre menacé autour duquel gravitent trois personnages, dans un milieu qui nous est cher : la forêt d'Ardenne. Et c'est finalement dans le sol de cette arène cinématographique que tous ces questionnements ont pris racine sans forcément parvenir à apporter de réponse.

Au bout du compte, le questionnement n'est-il pas plus captivant que la certitude de la solution ?

Un film, une équipe

Thomas Meunier, footballeur professionnel, Diable rouge, féru d’art et de culture, plus motivé que jamais, avait envie de poursuivre l’aventure cinématographique avec nous, après avoir coproduit notre premier court-métrage, il coproduira donc à nouveau ce film-ci.

Michael Erpelding et Olivier Bonjour, deux acteurs reconnus, ravis de la collaboration et de la synergie qui se sont créées sur le tournage de « Comme une empreinte » et emballés par cette nouvelle histoire, ont tout de suite dit "oui" pour nous suivre dans cette nouvelle création. Ils interpréteront donc les deux personnages principaux.

Nous, les frères jumeaux Callant, « frères d’Ardenne », à l’écriture, à la production et à la réalisation de ce film.

Deux nouveaux coproducteurs, amis de longue date, entrent dans l'équipe : Benoit Cop, originaire du même village que le nôtre et parti aujourd'hui entreprendre aux Etats-Unis a décidé, vu le succès du premier film, d'apporter son soutien à la création de ce projet. Roberto Van Ooteghem, entrepreneur bien connu dans la région et déjà partenaire sur le premier film, a eu envie de s'investir encore plus dans ce nouveau projet.

Et bien sûre l'équipe technique qui doit encore se constituer autour de François Roland à l'image, Vincent Scouman et Zoé Roland au montage, Anne Van Daele à la décoration, Olivier Jamez au son et Christian Gérard à la musique.

et Vous, comme collaborateur et collaboratrice

Le cinéma est un art d’équipe, une équipe constituée de nombreux métiers très spécialisés, et de logistique. Qui dit équipe et qui dit logistique, dit beaucoup de moyens. Or, financer un projet de création cinématographique est très compliqué. Ceci étant, en plus de nos trois coproducteurs, nous pouvons déjà compter sur le soutien du Centre Culturel de Bastogne, d’IDELUX et de Lupulus. Mais malgré cela il nous reste une part conséquente du budget à combler. Et comme notre volonté est de garder notre indépendance totale de création, nous souhaitons nous associer à vous pour nous aider à boucler notre budget. Budget qui sera plus important que celui du film précédent car, d’abord, nous voulons aller encore plus loin dans la qualité de ce second film et ensuite parce que l’histoire demande plus de moyens dans sa mise en forme.

5 000 € - PREMIER PALIER
Avec un premier palier à 5 000 euros, nous serons certains de pouvoir ajouter les jours de tournage nécessaires pour parfaire les prises des différentes séquences.

10 000 € - DEUXIÈME PALIER
Avec un palier à 10 000 euros, nous pourrons mettre en scène comme nous le désirons une séquence du film importante pour nous et pour l’histoire telle que nous l’envisageons. La mise en scène de cette séquence de concert nécessite la location d’une salle de spectacle, la rémunération des artistes qui s’y produiront et le déblocage d’un budget spécifique pour la régie scénique, sonore et lumière.

15 000 € -TROISIÈME PALIER
Avec un palier à 15 000 euros et plus, nous pourrons investir plus de moyens dans la postproduction ainsi que dans la recherche et dans la mise en forme graphique, visuelle et sonore de plans originaux traduisant une forme de langage jamais vue dans les films actuels – le langage de l’arbre. Plus nous dépassons ce pallier, plus nous pourrons aller loin dans le résultat final.

Donner, c’est aussi recevoir

Au-delà de votre aide financière précieuse, en participant à cette campagne vous remplissez deux objectifs : premièrement vous saisissez l’occasion de devenir un véritable collaborateur ou collaboratrice dans notre équipe puisque vous injectez des fonds pour soutenir un projet luxembourgeois, parfaitement indépendant et original. Deuxièmement, vous intégrez une communauté, que nous voulons la plus large possible, de personnes motivées et rassemblées autour de la création culturelle cinématographique locale, avec l’ambition de rayonner à l’international.

Et pour vous remercier de cet engament nous vous proposons différentes contreparties en fonction du budget que vous êtes prêts à nous offrir. Lorsque vous aurez choisi le montant de votre contribution, dans le processus de paiement, il vous est aussi possible de renoncer à votre contrepartie pour un don pur si vous souhaitez simplement aider notre projet.

Merci de bien comprendre que les contreparties qui proposent de découvrir le film en version numérique devront attendre, avant livraison, les délais habituels liés à la production et à la post-production ainsi que le temps nécessaire pour montrer le film dans différents festivals.

Thomas Meunier, co-producteur du film, vous parle d'une contrepartie en particulier.

un geste qui nous touche profondément

MERCI infiniment, à vous, amies et amis du 7ème art, de contribuer à la concrétisation de ce projet et de vous joindre à cette belle communauté de personnes soucieuses de préserver la création culturel locale et indépendante.
Nous soutenir c'est super, partager notre campagne à vos contacts c'est grandiose.

N'hésitez pas à vous rendre sur notre page facebook pour être tenus informés de l'avancement du projet: https://www.facebook.com/lesfrerescallant/

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